Les Vorondar sortent de leur retraite (en avant première!!!)

Je suis aussi d'accord.

Niveau idée, voici déjà mon rp n.10, 3eme session de conseil qui introduit un peu les dragons, enfin le but n'est de pas continuer sur ce chemin, mais il pourrait forcer le rapprochement entre les deux guildes pour éviter que cela se renouvelle, ou les dragon seraient-ils déjà intéressés par les idées Protego? sinon à la base je prévoyais de faire venir uniquement Ael comme ambassadrice à qui nous ouvrions nos portes, et tout le monde a déboulé alors on peut plus vraiment s'inspirer de ça, faudrait encore voir pour le cause de votre venue

pour ce qui s'y passe, en s'inspirant de votre rp d'arrivée, j'aurais bien voulu au final que lost aille massacrer l'intrus mais... enfin vous verrez bien

après on peut refaire un conseil avec du dialogue ou simplement rapporter ce qui c'est passé à voir

bon pour ce rp n.10 qui doit avoir lieu juste avant la peinte de lost sur le fofo de nawakim, alors ça va, la façon dont on parle de la chose? et aussi à la fin j'ai laissé le champ libre à Andarian, posseidon voir même claude s'il n'aime pas son perso de brut, un ou deux d'entre vous seraient-ils prêts à faire une petite présentation pour montrer comment que ça se passe le recrutement?

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Le chef dans un sale état

Il ne manquait plus que ça, une nouvelle session spéciale et en code vert ! Ce devait être de la plus haute importance, le code vert était réservé aux événements pouvant mettre en péril l’existence même de la guilde ! C’est dire ! Enfin, Emendil s’en serait bien passé par cette journée de fortes précipitations. Allé on remet ça, un bon 100 kile de cheval pour se faire complètement lessiver… heu, mais non pas cette fois ! L’elfe tout heureux pris la direction des quartiers de Palantir. On essaya de l’en dissuader, on lui dit que c’était une pure folie, qu’il pourrait y laisser sa peau, mais rien à faire, on dû finalement céder aux volontés du seigneur. Il décolla triomphalement persuadé qu’il pourrait faire tout le trajet sans encombre. Le fier elfe dû vite déchanter. Comme on l’avait prévu, juste après son décollage, une violente tempête se déchaina. L’aigle perdit tout contrôle. Il vacillait dans tous les sens, allant dans toutes les directions possibles sauf celle du nord. Emendil ne voulu pas lâcher, il força la pauvre bête à poursuivre sa route bien que cela était totalement impossible. Cela fut vain. Bientôt elle encaissa un violent coup de vent, bien trop violent qui l’a projeta droit vers le sol. La tempête avait eu raison du général et il dû se résigner à accomplir son voyage comme de coutume.

Emendil arriva complètement trempé au havre. Lorsque tout le monde était arrivé, on rejoignit la grande salle où Jiko les attendait déjà. On pouvait commencer. Mais Jiko n’avait pas pris la parole, comme les autres il attendait. Plusieurs minutes passèrent. Tous se regardèrent. Ils essayaient d’imaginer ce qui avait pu avoir lieu. Il était clair que ce ne devait rien être de bon, mais personne n’arrivait à trouver une explication plausible. C’est finalement Furaxa qui se lança.

- Mais chef, qu’est ce qui vous est arrivé ?

Jiko avait enfin entendu ce qu’il voulait. On s’était donc bien rendu compte que quelque chose s’était passé. Il commença, l’air à la satisfait et quand même enragé, car il y avait de quoi. Avec ce qu’il venait de subir, on ne pouvait pas lui reprocher sa mauvaise humeur.

- Figurez-vous gue ze me fuis fait dabaffer.

On pouvait difficilement douter du bienfondé de cette information à en voir l’aspect du mort vivant. Certes, les morts-vivants ne sont pas réputés pour leur beauté, mais cette fois-ci il était franchement plus moche que d’habitude. Presque entièrement recouvert de bandelettes blanches. De partout on voyait sa lymphe verdâtre dégouliner sur les pansements. Ses quatre membres étaient reliés à son tronc par des attelles. On pouvait distinguer sur son visage non couvert de bandes de nombreux hématomes. Ah, et sa mâchoire aussi, elle était dans une drôle de position. Enfin cela était un fait, le chef montrait de nombreux signes de coups et blessures.

- Là fa va engore, f’est des zoses qui arrivent gand on bigue un bdi fomme fous un arbre.
- Heu, mais vous êtes complètement fou de faire une chose pareille, de nos jours on ne peut plus se risquer à de telles folie chef.
- Elle est belle la sécurité sur l’île, on a encore du boulo.
- Bon, bref z’m en fou de fa, égoudez bludôt la fuite. Figurez-vous gue z’ai bu idendifier mon agreffeur avant gu’il m’affomme gomblèdement.
- Un vilain troll chef ?
- Non, il avait l’allure d’un homme, et édait vêdu en rouze.
- Un petit chaperon rouge chef ?
- NONNNNNN, enfin z’en fais rien. Mais fe dont ze fuis fûr f’est gu’il bordait le blason des DragonsFoul.
- Et vous en être donc venu à la conclusion que cette personne devait probablement faire partie des DragonsSoul chef, c’est bien ça ?
- Ben ouai, dout le monde est gabable de denir un del raisonnement.
- Heu, mais chef, jamais un DragonSoul aurait pu faire une chose pareille. Je les connais bien, ils sont tous si gentils et attentionnés.
- Ma tendre Sylver, tu parle bien de personnes comme ton cher père par exemple ?
- Ben oui, pourquoi ? Je peux reconnaitre qu’ils sont un peu brusque des fois, mais de là à mettre le chef dans un pareil état !

La face du chef, passa du vert au bleu.

- Le zef il l’a bien vu le Dragon ! Vu n’allez guand même bas douder de ma barole ???
- Mais non chef, on vous croit, calmez vous.
- Me gualmer ??? Et bourgoi ? Vous favez bas la meilleur ! On est allié avegu les Dragons et ils osent me fragaffer !
- Hein, chef j’étais peut-être un peu étourdie quand vous l’avez dit, parce je ne me rappelle pas avoir entendue pareille chose.
- Non, Fura tu as raison, il ne l’a jamais dit.
- Goi ?
- Je confirme, vous n’avez tenu un tel propos chef.
- Haaa, beu êdre bien, z’ai oublié de vous en barler alors. F’était bour gonguérir blus fafilement la blafe de brésident de l’île bour nodre brozet. Mais il n’emêze gu’ils ont dranfreffé leur ferment ! Il faut les bunir !
- Mais vieux camarade, c’est surement une erreur, un petit imbécile qui ne t’a pas reconnu. On aurait pu faire la même chose comme tu nous avais jamais parlé de cet accord.

Jiko était maintenant devenu violet.

- Et alors, f’est guand même eux gui l’ont dranfgreffé et bas nous !
- Mouai… et tu veux faire quoi ? Déclencher une guerre peut-être, allons pour si peu.

Le chef passait maintenant au rouge, quel spectacle !

- Da gueule fale elfe minimalifde, f’est pas doi gui d’est fait dabaffer. En blus il a osé me voler mon balefroi de luxe blagué OR !!!
- Une belle pièce chef, je te l’accorde. On dirait un vrai bijou ambulant.

Et du rouge au rose, le chef était à deux doigts d’exploser. Il n’était pas des plus disposé à savourer les blagues de Luffy.

- Ha, voila je vais pouvoir éclaircir la situation.

Depuis un moment déjà, Dead avait sortit un immense livre de ses porches. Il tournait frénétiquement les pages et s’arrêta finalement vers le milieu de l’ouvrage.

- Alors, article 8736 du CMN, des alliances, allinéa 3. Je cite « Par défaut, tous les accords fondamentaux relevant du pacte de non-agression sont intégrés au contrat d’alliance. Toute modification dans le contrat d’alliance concernant les accords du pacte de non-agression doivent être notifiés. » Allons donc voir les fameux accords liés au pacte de non-agression.

L’orc revint quelques dizaines de pages en arrière. Il semblait exactement connaitre l’emplacement de chaque article. Quelques secondes à peine après avoir dit la chose, elle fut faite.

- Alors, article 8562 du CMN, du pacte de non-agression. Voici l’un des accords fondamentaux. Je cite « Chacun des partis signataires du contrat s’engagent à respecter l’intégrité physique de l’autre et à ne point le déposséder de ses biens d’une quelconque manière. » Nous aurions aussi, article 8565 du CMN, du pacte de non-agression, « Chacun des partis signataires du contrat s’engagent à ne point humilier physiquement ou moralement l’autre. » Mais j’ai mieux. Il y a un article bien plus accablant à leur égard.

L’orc empoigna cette fois une grosse poignée de page pour revenir vers le début du CMN.

- Voila, écoutez bien. Article 1854 du CMN, de la déclaration de guerre, des cas particuliers, des déclarations inconformes aux lois de la guerre. Je cite « Toute agression physique sur la personne physique d’un chef d’une quelconque entité sans raison apparente revient à une agression de la personne morale représentant cette quelconque entité. Cette agression est donc similaire à une attaque massive et préméditée de l’entité en question et à défaut d’avoir été précédée d’au moins 3 jour par une déclaration de guerre officielle et rédigée en accord avec tous les articles relevant de la forme et du contenu de la déclaration en question, l’attaque en elle-même représente une déclaration de guerre inconforme. » En gros, tout le monde sait qu’une déclaration de guerre inconforme a tout de même force de déclaration de guerre mais ne permet pas à la personne l’ayant faite de faire valoir ses droits devant la Haut Tribunal Militaire International de Nawakim. Donc, la personne qui reçoit une déclaration de ce genre peut faire n’importe quoi à l’adversaire sans risque de sanction de la part du HTMIN et en pouvant faire valoir ses propres droits, c’est pas rien.

Jiko était devenu tout réjoui. Il était dans son bon droit de riposter. Un livre qui lui était totalement inconnu venait de l’affirmer.

- Ah, du vois Emendil, z’avais raison, ils font en faude et avegu deux ardigles, ils nous ont même déglaré une guerre et du dis gue f’est rien ?

Emendil lui était complètement abattu, il n’en croyait pas ses yeux, où Dead avait-il pu trouver des conneries pareilles et pourquoi avait-il fallu qu’il les dise au chef. Il essaya tout de même de calmer les ardeurs de Jiko.

- Mouai, enfin tu pense que celui qui a fait ça connaissait vraiment ces lois ?
- F’est bas la guesdion. Ils ont dranfgreffé, ils doivent fubir les gonséguenfes de leurs acdes. Ils ont déglaré la guerre, ils vont favoir fe gue fela fignifie.
- Mais arrête, même moi j’ai jamais entendu parler de l’existence de ce code militaire.
- Allons, le CMN est une référence depuis plusieurs milliers d’années. Toutes les personnes du milieu le savent bien.
- Ouai, et même f’il le favait pas, tu veux bas me dire gu’il fait bas non blus fe gue f’est un BNA ? On va leur faire bayer le non resbegt de fe BNA.
- OuAI, oN Va LeS MasSaKRer !!!
- Ah, ma chère Sylver, on va bien s’amuser à massacrer ton papy.
- Ahh, mais non pas ça. C’est pas très raisonnable cette idée chef.
- Dead, t’aurais pas un autre article pour qu’on puisse régler ça à l’amiable ?
- Humm, attend, peut-être…. Mais oui, c’est bien sure, si vous vous voulez pas trop guerroyiez, peut-être qu’on pourrait régler ça avec l’article 1854 du CMN , de la déclaration de guerre, des cas particuliers, des déclarations inconformes aux lois de la guerre, alinéa 2. Je cite « Si l’agression physique sur la personne physique d’un chef d’une quelconque entité n’avait pas été faite dans le but d’entamer une guerre, l’agresseur peut demander à annuler la déclaration de guerre qui en découle. Il appartient ensuite à la personne lésée d’accepter une de refuser cette annulation. La personne lésée peut demander en contrepartie une compensation en biens ou services. » et alinéa 3 « Si la personne lésée est morte dans l’agression…
- Non, ze fuis bas mort, fa va.
- Bon, alors chef, tu veux pas qu’on règle ça à l’amiable ?

Le mort-vivant réfléchit quelques instants avant de se prononcer.

- Mouai, bourquoi bas, on beux leur laiffer une zanfe fi f’édait bas volondaire de déglanzer une guerre. Mais alors ze vais m’arranzer bour que l’imbéfile gui a fait fa baye le brix fort, gu’on me dédomaze gomme il fe doit et gue des exguses offifielles me foit faides. Et bour m’en affurer ze vais borter l’affaire fur la blafe bubligue. Il est glaire gue dout le monde brendra mon bardi gu’ils feront oblizés de f’ingliner MouHaHaHa.
- Voila tout le talent du chef, régler démocratiquement les conflits qui auraient dégénéré en affrontements militaires. Je suis persuadé que bon nombre de guildes auraient déjà déclaré une guerre après un tel affront et un tel manquement l’ininconnaissable CMN. Si toutes les guildes étaient comme notre ordre, une bonne partie des conflits de ce monde n’auraient pas lieu. Nous sommes un exemple, que dis-je, un modèle pour tous !
- Dead, t’es con ou quoi pourquoi tu lui dis ça il va encore croire qu’il fait preuve de compassion et compréhension à l’égard des Dragons en allant les rabaisser plus bas que terre sur la place publique.
- Ben c’est bien le cas, tu préférerais aller les écrabouiller sur le champ de bataille peut-être ?
- T’y mets pas Luffy, tu sais très bien qu’on pourrait régler ça à l’amiable discrètement. Si on va les humilier on va se les mettre à dos pour un moment et ce serait pas bon pour nos projets.
- T’inquiète y vont bien s’amuser avec notre vieux mort-vivant. On voit que tu ne les connais pas.
- F’est moi gui vais aller m’amuser. Ze vais régler fa au blus vite fur le grand forum. Ah, y auront intérêts à féder au moidre de mes gaprifes, finon fa va mal aller. Bon, ze vous laiffe.
- MaIs pOUrKoI CHeF, mOi zE vOuLaIs aLLer Les FrAKasSEr. C’EsT nUl.
- Non, chef, vous pouvez quand même pas partir dans cette état, il faut que je vous soigne.

Le chef était déjà entrain de quitter la salle, il avait attrapé les deux poignées de la grande porte et l’ouvrit complètement avant de disparaitre d’une démarche boiteuse. La petite prêtresse naine courait derrière lui pour le rattraper. Tous étaient prêts à s’en aller on moment ou l’on aperçu deux silhouettes se dessiner dans l’ombre. L’une assez fine et l’autre beaucoup plus épaisse. L’un des deux mystérieux personnages commença.

- Bonjour, c’est bien ici pour le recrutement ? On nous a dit d’attendre derrière cette porte.
- Mais bien sur, entrez donc. On ne peut pas dire que ce soit le meilleur moment, mais comme vous êtes là.
- Alors, pour les présentations, le vieux déchet qui de s’en aller c’est le chef. La naine qui l’a suivit, une de nos prêtresses, gérante de notre cabane. Le gus qui vous scrute comme un gros débile, c’est Emendil, ça rime en plus ! L’orc à coté de lui, c’est une grosse brute qui veut taper sur tout ce qui bouge. L’autre orc, c’est le cerveau de la bande, il en a pas l’air mais voila. Et pis la ptite elfette à mes cotés c’est mon amour, Sylver. Et moi ? Disons le comique de service, Luffy. Et vous, vous êtes ?

oki, so, let's roll

(et là vous allez vous rendre compte que mon perso est un vrai petit con comme on en fait plus °o°)

Une courte hésitation de la part du jeune elfe face aux Protego, et, sur un haussement d'épaules semblant dire "trop tard pour reculer maintenant", il répond d'une voix un peu trop grave mais pourtant mélodieuse:

Je suis Andarian Nhor, pour vous servir.

Et ce disant d'exécuter une extravagante révérence à grand renfort d'envolée de cette longue cape qu'il porte, presque moqueuse avant de poursuivre, taquin:

Et j'imagine que vous vous demandez pourquoi j'aimerais vous rejoindre, n'est-ce pas?

Un sourire, dans lequel on peut lire qu'il ne conçoit pas que quelqu'un de censé puisse ne pas s'intéresser à lui -oui car il aime à penser qu'il se trouve toujours plus ou moins au centre de l'univers, personne n'est parfait, que voulez-vous?- un discret clin d'oeil à l'elfette -on est charmeur ou on ne l'est pas, et lui il l'est- et il continue comme si il ne s'était pas interrompu:

Pour faire simple, j'arrive tout juste sur cette île, qui me semble plein de promesse, tout en étant pourtant diablement hostile -mais j'aime les paradoxes, ça me convient donc tout à fait- et j'ai quelques... ambitions pourrait-on dire. L'ambition de me faire un nom, pour commencer. Et d'expérience j'ai appris que pour être reconnu à son juste mérite, le plus simple était de savoir bien s'entourer.

Un rire qui lui échappe, comme s'il venait de lancer une plaisanterie que lui seul peut comprendre, et il poursuit:

C'est pourquoi, après m'être rendu compte que votre groupe était en passe de devenir le plus important de cette île, j'ai décidé de vous faire l'honneur de me joindre à vous.

Encore une révérence -décidément il aime l'ostentation ce bougre- et quelques mots pour conclure:

Qu'en dites vous?

- Heu, juste votre cape, c'est de la soie? Je me disais que ça donnerait pas mal sur un général à la tête de ses troupes.

Tous les autres s'étaient écrasés la tête sur la grande table, le jeune elfe restait baba. Ces réactions qui laissaient échapper une certaine impression de surprise ne permirent que trop vite à Emendil de se rendre compte que la question capitale qu'il avait posée n'était pas des plus adaptées à la situation. Il continua donc avec des paroles plus standard.

- Oublions ça. Alors je vous souhaite la bienvenue parmi nous. C'est un grand honneur que vous nous faites de bien vouloir daigner nous rejoindre. Nous fêterons votre arrivée comme il se doit.

Des bougonnements se faisaient entendre dans la salle, lesquels permirent à Emendil de réaliser qu'il avait brulé une étape. Ah, la place de chef ne s'improvisait pas.

- Ah oui, quelqu'un s'opposerait-t-il à l'adhésion de cette noble personne à notre ordre?

Silence dans la salle.

- Penses-tu vraiment que l'on soit à même de se prononcer en l'absence du chef?
- Mais voyons, pour le chef, plus y a de monde mieux c'est, jamais il ne refuserait quelqu'un à part si sa tête ne l'inspirait pas ou si la dite personne représenterait une quelconque menace pour sa suprématie. Jamais cet aimable et serviable elfe ne pourrait lui déplaire. Quand à Fura elle est ouverte à tout le monde. Alors voila.

Puis, se tournant à nouveau vers la porte d'entrée, fixant des yeux le second personnage.

- Et vous, vous êtes?

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voila, un peu spéciale l'accueil

ça vous va?

je vais voir si l'un des orc veut bien venir se présenter, sinon on peut limiter ça à Andarian

et au fait, Andarian, une fois mon rp posté sur le sujet de guilde, tu pourras mettre le tien et on fera une petite suite?

Voila, un petit hs, ou peut-être un rp d'avenir qui sait. Quoi qu'il en soit, je l'avais en tête et je voulais l'écrire au plus vite. Vous comprenez un peu ce qui se passe?

pour connaitre un peu mieux Calmancil, qui fait son retour dans ce récit, il faudrait peut-être lire:

Traqueur a écrit:

Citation :

Les troupes de LostJiko le repérèrent rapidement avant même d'atteindre le camp d'infanterie, il ne faisait rien pour se cacher aussi...

Comme il était seul, elles s'approchèrent et lui demandèrent ce qu'il voulait.
Dans son plus beau mort-vivant il dit.

- Ou est votre maitre? Je veux l'affronter!

L'une des répugnantes créatures répondit.

- Il est parti au sud pour mener nos armés, il va vaincre le chaman de Baal et empêcher le chaos d'arriver sur cette terre.
- Passionnant, dans ce cas j'arrive trop tard... qu'importe, je vous tuerais tous autant que vous êtes. Qui veut m'affronter?

Les rangs s'écartèrent, un puissant zombi s'avança.

- Je suis partant.

Il fonça sur Traqueur, lui envoya un puissant coup d'épée, mais celui-ci esquiva et sa lame lui fendit la gorge.

- Bon passons aux choses sérieuses, vous pouvez tous venir sur moi, aucuns d'entre vous ne me fera tomber.

Le vrai combat commença. Traqueur esquivait, bloquait tranchait, les morts-vivants tombaient par dizaines, mais malgré ses paroles il était sur de tomber, il savait que sa fin était venue, qu'il n'arriverait pas à tuer les milliers d'ennemis qu'il avait en face de lui, mais il combattait, il était persuadé que c'était la seul chose qui restait à faire, et maintenant il ne pouvais plus revenir en arrière....

Traqueur ne laissa aucunes chances à ses ennemis plusieurs minutes durant, jusqu'à ce que son bouclier cassa sous un puissant coup de masse. Il ne restait plus que Terendul et Calmacil, combattant ensemble comme ils l'avaient fait depuis de nombreuses années, ce faisait longtemps que Calmacil n'avait pas eu pareil combat, Traqueur non-plus d'ailleurs, probablement jamais. Le jeune elfe et l'épée millénaire ne faisaient plus qu'un. Traqueur se sentait encore plus fort maintenant, Calmacil virevoltait, elle transperçait et ôtait la vie comme jamais, des dizaines d'ennemis périrent sous son tranchant.

Le combat durait déjà depuis plusieurs minutes, Terendul avait tué plus de braves combattants, mais ils n'avaient toujours pas réussi à la tué...

Enfin la plénitude de duo ne fut pas éternelle, Traqueur reçu un puissant coup de masse qui le balaya, il se releva, continua en tua encore et encore, mais reçu un autre, d'épée cette fois et en plein dans son casque, il faut presque assommé, mais il se releva, il en tua d'autres, le sol était déjà jonché de cadavres dans un rayon de 5 mètres, il devait les chevaucher, ils le ralentissaient, il finit par attirer ses ennemis un peu plus loin pour continuer le combat, la il commençait à douter, pourquoi était il entrain de massacrer les oppresseurs alors qu'il y avait plus d'espoir, qu'allaient devenir les siens sans lui? Mais il continua, ne se posa plus de questions, il s'en était déjà assez posé... Il reçu encore un coup dans le tors, son armure absorba, mais il avait mal, il avait mal aux jambes, au crane, au tors, mais il continua son combat aux cotés de Calmancil, elle, elle était toujours immaculée de toutes blessures, elle était plus résistante que nulle arme que l'on produisait à ces jours, elle est beaucoup plus qu'une épée de nos jours, c'est une puissance incommensurable à elle seul, aucunes amures de cet age ne pouvait lui résister et dans ce combat, elle en transperça des armures, encore et encore, jusqu'à ce que Traqueur reçu ce coup qu'il ne pu éviter, la lame entra sa sa nuque est descendis au plus profond de son être, mais il ne senti presque rien, le sentiment du devoir accompli, de pouvoir enfin reposer en paix, de savoir que c'était enfin fini. Les générations futures se rappelleront-elles de lui, Nawakim se rappellera-elle de lui, a-il réussi ou son ancêtre le dis Megabloups a échoué? Calmancil balaya encore ennemi. Puis Terendul prononça ces quelques mots avant que son corps ne s'effondre de tout entier dans la prairie jonchée de cadavres.

- Fidèles serviteurs de Baal vous vaincrez comme vous avez toujours vaincu.

Le zombie qui lui avait planté la lame qui causa sa perde empoigna Calmacil pour la ramener comme trophée, mais la lâcha tout aussi vite, son bras s'était enflammé à peine l'avait-il touché, rare sont ceux que Calmacil acceptent. Aucun autre n'essaya de la prendre, tous s'en allèrent sans même essayer de savoir quel visage se cachait derrière le masque de Terendul, en notre langue le grand ténébreux...

Vieux frère

Emendil cavalait vers le nord aux cotés de ses soldats qui devaient aller renforcer la garde au havre.

Une silhouette posée sur la vaste plaine. Immobile. Une cape elfique. Des braies. Des bottes. Sous la cape, chevelure blonde. Visage immaculé. Terendul ? Stupeur !

- Traqueur, c’est bien toi mon ami? Que fais-tu là au milieu de nul part?

Calmement.

- Je venais te rencontrer vieux frère.
- Pourquoi ? As-tu pu te débarrasser de ce mal qui te rongeait ?

Mécontentement.

- Ce n’est pas un mal, en tout cas pour moi et je n’y suis encore moins soumis, j’ai choisis… comme vous aviez aussi choisit.

Anéanti.

- NoNNNN. Le malin te manipule, il faut te libérer. Tu ne peux continuer ainsi. Il va te perdre.
Moquerie.
- Je m’en contrefiche. J’ai acquis le Pouvoir. Toi aussi Emendil tu aurais pu devenir un être puissant, mais tu as tout gâché. Stupides sentiments.

Terreur.

- Que va pouvoir t’amener ton pouvoir? La destruction, le malheur, l’apocalypse ? Tu n’y gagneras rien. Réfléchit.

Rires.

- HaHaHa, je serrais tout puissant. B A A L m’a donné le pouvoir.
- Tes pouvoirs ne sont rien face aux Vrais Dieux. Tu va tous nous perdre.

Audace.

- Bientôt c’est les dieux qui tomberont !

Courage, volonté, droiture.

- Je ne peux te laisser ainsi. Tu es trop dangereux. J’ai promis à mon peuple qui a pitié pour toi de te raisonner.
- Pitié, allons eux aussi sont-ils devenus si lâches. Il leur plait de me croire fou.
- Tu l’es. Une personne censée ne peut pas raisonner ainsi. Je vais t’arrêter par les armes s’il le faut.

Déception.

- Allons, tu ne peux pas attaquer ton vieil ami tout de même.
- Tu n’es plus le même. Tu as trahis ton peuple. Je suis fidèle aux Vorondar.

Ricanement.

- C’est pas beau ça, le fidèle Emendil tout dévoué à son peuple.

Les bras croisés. Grincement. Les épées dégainées.

- Bon, si tu insiste, je t’attends.
- Écartez-vous soldats. Laissez-moi régler ça, il peut être très dangereux.

Terendul hilare.

- Oui, les enfants, de vrais guerriers vont s’affronter, ça pourrait être dangereux.

Coups de vent. Le général songeur. Situation tendue. Avantagé ? Traqueur avait-t-il progressé ? Ne pas le tuer. Délicat. Deux colosses, l’un face à l’autre. Quel combat ! Suspens. Emendil s’élança. Bras droit levé, premier coup. Calmancil la brisa. Mille éclats. Ignorance. Appui. Bond sur la gauche. L’autre épée fonçait sur sa poitrine. Calmancil la brisa. Mille éclats. Impossible. Quelle puissance ? Le général pétrifié. Calmancil dévora sa jambe. Douleur. Terreur. Délectation. Terendul, la jambe levée. Propulsion. Impacte. Emendil vola à plusieurs mètres. Deux fioles. L’une cracha sur Calmancil. L’autre avala la substance amarante.

Les soldats se rapprochaient. Une autre fiole. Calmancil imbibée, dressée vers les dieux. Des paroles. Tous brûlèrent comme de sèches brindilles. Horreur. Deux indemnes. Calmancil s’en chargea personnellement. Transpercés en pleins cœur. Calmancil rassasiée.

- NONN, pourquoi tu as fais ça, tous tués !
- Il le fallait bien, ces misérables auraient pu faire circuler des bruits sur moi. Cela aurait été mauvais. Toi, tu n’oseras pas. Sinon je détruirais tout. Mes pouvoirs sont trop grands pour toi. Ils sont dignes des dieux. Mais bientôt des hordes assoiffées de sang débarqueront. Tu devras lutter pour ta survie et celle de votre utopique création.

Brisé.

- Mais pourquoi tant de haine, tant de cruauté ?
- Je vais bien m’amuser à vous voir vous entretuer. Nawakim tombera par ma seule volontée, n’est pas beau ?
- Tu es fou, tu es un monstre !!!
- Bon, je vais te laisser alors. N’oublie pas de tout nettoyer et pas un mot surtout. (même pas à la prêtresse). Si je l’apprends…. Mais cela n’aura pas lieu. Tu préféreras mille fois affronter mes esclaves et te persuader que tu auras une chance de vaincre plutôt que mes propres pouvoirs divins. Pour t’en convaincre, je vais te donner un second aperçu de mes pouvoirs. Bien à toi.

L’épée vers le sol, des paroles. Une autre fiole. Il l’avala et s’enflamma. Bientôt les flammes cessèrent et Terendul n’était plus. L’épée et son serviteur s’en étaient allées. Les deux qu’il avait transpercés se relevèrent, allèrent vers le seigneur épée en main. Des morts-vivants assujettis ? Il les défit facilement. Mais la douleur était immense. Quelle horreur. N’y avait-il plus d’espoir ? Emendil avait senti Traqueur terriblement lié à Calmancil. Et quels pouvoirs ! Que faire ?
Les corps dissimulés, l’efle repris sa route vers le havre. La garde arriverait plus tard.
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Et pendant qu'on y est, je vous remets dans l'ordre tous les rp déja présentés.

7Tension

Au lendemain du conseil, Emendil regagna son royaume. Protego avait accepté ses projets, il pourrait maintenant plus surement convaincre les Murmures. Et en effet, celles-ci consentirent assez facilement à lui laisser accomplir son entreprise. Déjà, en approuvant son union avec Itariel, ils se voyaient mal le couper dans son élan bien que ce rassemblement était d’une toute autre taille. Ils pensaient aussi que le peuple l’accepterait plus facilement et enfin si d’aussi nobles seigneurs que les Protego reconnaissent et soutenaient cette idée, elle ne pouvait être que bonne.

Il ne restait plus au souverain qu’à informer son peuple de ses nouveaux dessins. Tous se rassemblèrent sur la colline au centre de la vallée. Les Vorondar pensaient que leur seigneur avait choisit ce lieu uniquement pour sa beauté et sa prestance, un endroit idéal pour donner un discoure. Mais en fait, ce monticule devait bientôt avoir une importance capitale. C’était tout un symbole pour Emendil d’annoncer ses volontés où prochainement peut-être Fadakim s’unirait.

L’orateur était perché au sommet de la colline, à sa droite se tenaient les Murmures, tous les autres se trouvaient un peu plus bas, sur le premier plateau qui se dessinait. Enfin, il se lança, d’une voix forte et portante, prononçant calmement ses mots, mais dont chacun raisonnaient à la façon un coup de tambour. Il était un peu tendu .C’était le dernier mur à passer. Cela ne l’empêcha pas d’être confiant. Pour faire passer au mieux la chose, il avait décidé de commencer par ses projets d’unification de toute l’île et de ne parler qu’après de son mariage avec sa chérie.

-Mes frères, ce jour est un grand jour pour les Vorondar. Cela fait maintenant plusieurs mois que nous avions volonté que notre peuple regagne sa gloire passée et se fasse respecter de tous les habitants de Nawakim. Mais c’est aujourd’hui vraiment que nous allons renaitre, laissant enfin derrière nous nos déboires passés. Longtemps, je me suis acharné pour rattraper les fautes nous avons faites. Aujourd’hui enfin, nous allons pouvoir entreprendre une œuvre nouvelle pour le bien de tous. Tous ensembles, et avec nos alliés nous réunirons tous les résidents de cette jeune île pour former une nation reposant sur la paix, le partage et le respect. Avec vous, j’ai envie qu’on puisse faire en sorte que partout nous sachions que Fadakim est une île unie, où tous travaillent au bien commun.

Ici même, se dressera bientôt la capitale d’une nation nouvelle. Cette capitale sera la fondation du grand édifice que nous allons construire sur Fadakim. Tous ensemble et avec nos compagnons nous érigerons cette citée !

Les phrases qui suivirent furent prononcées avec un peu moins de conviction, la voix d’Emendil se fit plus nerveuse. La joie et la fierté que laissaient deviner les Vorondar se transformèrent en doute et en méfiance.

-Je vais aussi profiter de l’occasion pour vous annoncer une union plus personnelle. Mes frères, j’ai finalement trouvé l’élue de mon cœur. Notre amour est incommensurable et rien ne pourra plus nous séparer. Comme cette île, nous scellerons notre union prochainement. Celle avec qui j’ai décidé de tout partager se nomme Itariel, c’est une jeune elfe de ce peuple. Tout peut sembler nous séparer, mais notre amour est sincère et profond.

A ce moment là, la petite Felari se dégagea de la masse pour rejoindre son fiancé. Elle était toute frémissante et angoissée, mais avançait d’un pas ferme et déterminé. Après tout, c’était elle qui avait voulu qu’il en soit ainsi.

Un long silence avait suivit le discoure d’Emendil. Peu à peu, des chuchotements émanèrent de la foule. Toujours plus nombreux, toujours plus intenses. La tension était à son comble, nul n’osait briser ce faux silence.

Enfin, Gnolasdotr rompit le silence avec un tonitruant « OUI Vive le Seigneur, Vive sa Promise, Vive les Amoureux » repris en cœur des autres Murmures et de tous les Vorondar.
La tension était soudain complètement retombée, d’autres cris se firent entendre, on chanta tous en cœur l’hymne du royaume. Les fiancés s’embrassèrent. Quelle belle journée.

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8Rencontre au sommet

Les Vorondar avaient finalement bien pris les volontés de leur seigneur, nul conflit n’avait éclaté. Ce qui n’empêcha pas le royaume de sombrer dans la plus grande agitation. En effet, la construction de la capitale avait maintenant commencé. Les plans finaux achevés, on s’était lancé dans le terrassement de la colline. Déjà, les premiers bâtiments voyaient le jour par-ci par-là. Jiko était venu prêter main forte aux Vorondar dans leurs laborieux travaux. Morts-vivant et elfes travaillaient ensemble main dans la main. Les travaux avançaient bon train. Mais il restait encore un détail important à régler qui avait négligemment été omis du premier conseil à cause de la trop grande précipitation de certains. Il fallait maintenant rattraper cette lacune, on avait organisé une nouvelle session spéciale au havre.

Emendil s’en alla donc une nouvelle fois dans le grand nord. Il était escorté de deux autres elfes. La petite délégation arriva en début d’après midi au havre. Tous les attendaient, ils étaient les derniers arrivés. Avant d’entrer dans la grande salle, Emendil se recommanda une dernière fois.

- Hein, vous vous tenez dignement pendant la séance, pas de grossièretés, d’impolitesses aux autres seigneurs!
- Mais seigneur, nous sommes de elfes du plus haut rang, ce genre de chose ne nous ressemble pas.
- Je vous connais bien…

Alors on entra, tous les saluèrent. On se demandait pourquoi Emendil était accompagné.

- A, ce sont deux princes de mon royaume. Ils ont de gros intérêts dans cette affaire et ils tenaient à me suivre. A moi gauche, le prince hérité des Felari Ciryamo. Et à ma droite son cousin le prince Ciryandil.
- Bien le bonjour seigneurs Protego.
- Je vous salue nobles seigneurs, c’est un honneur de vous rencontrer.

On leur retourna leurs compliments.

- Alors, Iszmar n’est pas venue. On peut faire comme on a dit.

Oui, la haute prêtresse et les siens avaient décidé de soutenir l’œuvre des Protego suite à la demande d’Emendil allant dans ce sens. L’Ordre des Colères d’Iszmagog avait maintenant lui aussi sa place à ce conseil. Heureusement Iszmar n’était pas venue. Si elle aurait apprit la manière de procéder des Protego pour régler leurs différents, son estime aurait sérieusement baissé à l’égard de ces braves seigneurs. Mais comme elle n’était pas là, on pouvait faire comme c’était prévu. Régler la chose par un débat raisonnable aurait pris beaucoup trop de temps, même plus que les dix minutes record de la dernière séance. On voulait régler ça vite fait.

- On KoMenc Tou dsuiT cheF ?

Oui, un autre Protego s’était joint à la fête cette fois-ci, le seigneur Claude. Par contre Dead n’avait pas jugé nécessaire de faire le déplacement. Certes, il se serait bien prêté à cet affrontement, mais comme il n’avait aucun intérêt à défendre, la compétition perdait de son mordant. Un avant troqué un orc pour un autre, bon deal ?

- Oui, Claude on va commencer t’inquiète. Vous participez tous ?
- Non chef, très peu pour moi ces choses là. Je ne comprends pas comment vous pouvez prendre plaisir à faire une telle stupidité. Je laisse mon époux défendre nos intérêts. Luffy, tu fais attention quand même, ne te blesse pas.
- N’ai crainte ma douce, je vais les avoir à plate couture !

Sylver s’écarta de la table tout comme les deux Felari. On ne voulait surtout pas perturber les combattants.

- Alors c’est partit, que le meilleur gagne !

Les regards fusèrent de pare et d’autres, on essayait tantôt de déstabilisé un adversaire puis un autre. On se risquait quelquefois à croiser le regard glacé du chef. Après quelques secondes déjà, un premier candidat trépassa.

- Ah, non… j’en peux plus c’est horrible, ça me rend fou. J’abandonne.
- Bah, mon chérie, t’avais pas dit que tu les terrasserais tous ?
- Je ne m’attendais pas de si redoutables adversaires ma tendre Sylver. De vrais démons.

Luffy s’en alla rejoindre son épouse qui avait lié les deux princes. On rigola bien pendant les autres étaient entrain de se massacrer.

Les minutes passèrent. Un autre concurrent trépassa.

- AhHa, TcheU, j’PeU plU, C’eSt trO OriBl c’truK, pVoir sLemEn rGardé l’Autr sAn PvOIR l’EKraBouIllE.

Ils n’étaient maintenant plus que trois en compétition. Le terrible mort-vivant qui ne faillissait pas à la réputation de son espèce. Le vaillant elfe sur qui l’ont fondait tant d’espoir et qui avait tout intérêt à gagner. Et la petite naine, encore et toujours en compétition. Les deux garçons tentèrent de pénétrer le regard de celle-ci, mais en vain. Elle semblait les ignorer complètement. Après plusieurs heures enfin :

- AHHHHAAHHHAAAHHAAAAH, mais qu’est ce que vous avez à me regarder comme ça, qu’est ce que j’ai… ?
- Hein
- Oui, elle a craqué, une de moins, plus que l’autre imbécile !!!!
- Ah, oui on était en pleine compète. Désolé, je rêvassais. Je me disais que je pourrais élever des ptis lapinous sur la terrasse. Je me demandais aussi ce qu’Iszmar vous ferrais si elle apprenait que, enfin bref, je vais vous laissez régler ça entre hommes.

Furaxa s’éloigna à son tour. Ils n’étaient plus que deux, la lumière commençait à se raréfier dans la pièce, le soleil avait décidé de les quitter. On fit amener quelques lanternes. Tous allèrent se restaurer dans la petite salle d’à coté à l’exception des deux Faleri qui déclinèrent poliment l’offre. Le duel final avait maintenant bien commencé. Les deux seigneurs se fixèrent tout en restant complètement immobiles. Les heures passèrent. La nuit passa. Bientôt les autres vinrent prendre de leurs nouvelles. On s’informa auprès des deux princes qui avaient veillé toute la nuit. Ensuite on alla faire le plein d’énergie pour la journée et on regagna la grande salle ou l’on se devait de se montrer. On s’ennuya quelques heures encore et enfin, à la surprise générale, ce fut le terrifiant mort-vivant de chef qui prit la parole complètement enragé.

- J’en peux plus, j’ai tout essayé, rien y fait, ce gus est un dieu. Jamais personne encore n’avait pu soutenir mes regards les plus noirs emplit de haine et de cruauté, ne laissant que trop bien deviner ce qui attend mes victimes. D’ailleurs j’avais bien choisit ce défit pour ça… Il m’a dégouté, je peux rien faire contre lui est ses foutus regard m’ignorant complètement. J’abandonne, voila !

Emendil ne semblait pas encore avoir complètement réalisé que déjà ses deux compères l’acclamèrent.

- Hein, quoi, j’ai gagné, déjà, c’est vrai ?
- Ça fait quand même presque vingt heures espèce de grand malade.
- Tant que ça, j’ai rien vu passé moi.

Les deux Felari s’avancèrent vers leur seigneur, le cousin commença :

- C’est bon ça chef !

Dans le même temps Emendil s’effondra sur la table.

- Ça va seigneur, vous êtes pas trop fatigué ?
- Non, c’est pas ça, je dormais depuis hier soir. C’est toute cette pression que j’avais ru moi, enfin retombée. Ah, c’est enfin terminé. C’est pas croyable de pouvoir mettre tant de pression sur une seule personne. J’y jouais presque mon titre moi, vous vous rendez compte de ce que vous m’avez affligé ? Et vous, vous êtes resté planté là tout le temps ?
- Ben oui, on se devait d’être solidaire. On vous a soutenu, moralement chef.
- Bah tient, vous pouviez pas le faire vous-même cet affrontement ?
- Non, c’était une affaire importante devant être réglée entre seigneurs, on pouvait pas faire ça à votre place. Si c’était possible on l’aurait fait sans problème chef.

Et le prince héritier d’ajouter :

- C’est bien notre général ça, toujours là dans les moments importants. Quelle belle victoire. Vous avez montré la puissance de nous autres Vorondar. Non mais laisser la forge à un mort vivant ! Pis quoi encore ? Ces vieux déchets pouvoir maitriser les métaux ! Nul n’est meilleur forgeron que les elfes !
- Y-a les nains quand même cousin !
- Les nains ? Sont qu’bon à creuser des trous ceux-là.
- Non quand même, y font un peu plus que ça les nains. Ça t'a pas vraiment réussi les dix ans d'isolement. Si maitre Gnolasdotr t’entendait.

Les deux princes rirent seuls de leur délires. Tous les autres les regardaient d’un air amusés ne pouvant pas comprenant. Emendil croyait halluciner. Mais non et Ciryamo pensa bon d’en rajouter encore un peu.

- Ptêtre qui savent tailler un bout de métal les nains, mais alors les morts-vivants HaHaHA, pis quoi encore. Ca a causé la perte de l’Ordre de laisser la forge aux morts-vivants HAhaHA.
- Je crois qu’on va laisser ces seigneurs entre eux hein Ciryamo. Ces négociations furent un plaisir chères camarades. Sur ce, bonne continuation.
- Ouai, dégagez et plus vite que ça, on réglera ça plus tard.

Les deux princes s’en allèrent, toujours possédés par leurs délires. Furaxa pourtant si calme était devenue toute rouge, elle était à deux doigts d’exploser. Malheureusement, Jiko lui vola la politesse. Il avait enfin comprit, c’était bien ça, il l’avait dit, il en était sur. Le chef n’avait même pas entendu les stupidités des deux princes. Il avait examiné et réexaminé les paroles d’Emendil et en plus il était tout mauve.

- QUUUOI, TU AS BIEN DIT QUE TU DORMAIS ??? ALORS QUE JE M’ACHARNAIS COMME UN FOU SUR TOI, TU DORMAIS ???
- Heu, j’ai dis ça frérot ? Ah, oui, ça m’ennuyait ce petit combat et j’étais fatigué.
- COMMENT TU POUVAIS DORMIR ?
- Ben, tu savais pas, nous les elfes on peut dormir les yeux ouverts. Il fallait juste se regarder, on a pas dit qu’on ne devait pas dormir.
- LES GENS NORMALEMENT CONSTITUES NE DORMENT PAS LES YEUX OUVERT VOILA POURQUOI ON L’A PAS DIT.
- N’empêche que t’as perdu chef, tu dois bien le reconnaitre.
- SALE CON, JE VAIS TE MASSACRER.
- Oui, mais alors plus tard chef. Furaxa a eu pour deux mois de travaux la dernière fois que tu t’es mis en colère. Tu te rappelle sur Dead, quand il t’avait dit que…

Le mort vivant repris peu à peu ses couleurs grisâtres, pour une fois il avait pu se contrôler et remettre sa vengeances à plus tard.

- Merci Sylver, avec un peu de chance il oubliera. Bon, c’est pas tout mais t’as pas un pti creux Jiko, en tout cas moi je tiens plus.
- Ouai, mangeons.

Et les finalistes mangèrent. Puis chacun choisit son commerce dans l'ordre du résultat de la compétition.

- T'as pas de bol d'avoir des sujets comme ça quand même Emendil.
- C'est rien comparé aux nôtres, rassure-toi ma petite Furaxa.
- Non, mais voila Ciryamo est un tout jeune elfe d'à peine 30 ans. Début de l'age adulte, lui on dirait qu'il est un peu retardé. Son cousin est un peu plus âgé et raisonnable, mais il se laisse vite influencer par l'autre.
- C'est déjà un cas le chef Vorondar, tellement imbus de sa personne, mais je pensais pas que les sujets pouvaient être encore pire, c'est une vraie maladie chez vous. En plus on fait la capitale chez eux, ils vont vraiment se croire les maitres du monde avec ça, mon dieu.

Tout compte fait, la session avait presque duré 400 fois plus long que d’habitude. Elle était bien bonne l’idée pour gagner du temps.

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9 Ouille ça pique

Le seigneur s’était levé tôt ce jour-là. Et pour cause, il devait aller visiter le chantier de la capitale. Emendil avait déjà eu de bien mauvaises surprises en laissant les choses se faire toutes seules. Dorénavant il allait inspecter la progression des travaux chaque semaine, quel éprouvant travail !

Enfin, avant cela il fallait bien prendre des forces. L’elfe encore tout endormi mâchait ses galettes avec une prodigieuse lenteur, grommelant quelques mots après chaque bouchée. Il n’était guère enthousiaste à l’idée d’entamer sa promenade sur la colline. Que lui réserveraient-ils encore ? Bah tient, il devrait être fixé si une nouvelle catastrophe avait eu lieu depuis hier, son assistant venait d’arriver. Que réserverait le rapport d’aujourd’hui ? Pour le moment ça allait, on ne lui avait encore rien signalé de grave cette semaine, mais il s’attendait au pire.

- Bien le bonjours mon seigneur.
- Saluuu…
- Encore une belle journée qui nous attends, pleine de surprises, de découvertes, de petits plaisirs…
- J…crois pas non. C’est visite du chantier et c’est jamais bon les visites, je te le dis.
- Allons chef, ce ne sont pas ces quelques futilités qui vont avoir raison de vous.
- Tsss depuis ce qui ont fait la dernière fois, plus rien ne m’étonnerait.
- Ah, oui… enfin ça peut arriver à tout le monde de construire une grande place 50 mètres à coté de l’endroit prévu.
- Nonn, y a qu’eux pour faire ça… Bon, quelles sont les nouvelles du jour ?
- Alors aujourd’hui, une BONNE et une mauvaise nouvelle. Je commence par quoi ?
- La mauvaise comme d’habitude….
- Ahh, ça va pas être possible, en vous informant de la mauvaise vous prendriez également connaissance de la bonne. La bonne étant une causalité de la mauvaise.
- Ben pourquoi tu me demande alors ?
- Je ne voulais pas vous obliger à vous laissez sur la mauvaise. Elle aurait pu atténuer l’impacte de la bonne. Bref, la bonne nouvelle est donc ….. que …. nous avons…. enfin….. retrouvé nos aigles !!!!! C’est génial non ?
- Ouai, c’est super. Ça fait quoi, deux mois qu’on les avait perdu ?
- Presque mon seigneur.
- C’est long deux mois, on avait rudement besoin de ces bêtes.
- Vous n’imaginez même pas où ils se trouvaient.
- Ben non, dis-moi tout.
- Figurez-vous que nos aigles avaient pris en chasse un troupeau de coutoreux et l’avaient poursuivi jusqu’à ce que nous les retrouvions en plein sud de l’île.
- Et alors, pourquoi vous les avez pas retrouvé plus tôt ?
- C'est-à-dire que sans aigles pour faire ses recherches depuis les airs Palantir a eu un peu de mal pour les localiser.
- Tiens et pourquoi il n’y avait plus un seul aigle ici ?
- Vous le savez bien chef, ces petites bêtes ont toujours tendance à se déplacer en groupe quand elles le peuvent. Si un aigle s’en va tous les autres suivent.
- Ah ouai tiens c’est vrai ça. C’était une bonne idée de tous les laisser vagabonder ensemble.
- Ben, c'est-à-dire que ces animaux ont besoin de beaucoup d’autonomie, d’habitude ils reviennent sans problème. Mais c’est clair qu’en débusquant ce beau troupeau de coutoreux, ils n’ont pas pu y résister… Enfin bref, avec ça Palandir à pu reprendre ses repérages aériens et vous ne savez pas ce qu’il a pu constater ?
- Ben non.
- La peuplade voisine, celle avec qui toutes nos lettres sont restées sans réponses, y bien figurez-vous qu’… i.l.s o.n.t c.o.n.t.i.n.u.é à s.e r.a.p.p.r.o.c.h.e.r d.e l’e.m.p.l.a.c.e.m.e.n.t q.u.e n.o.u.s a.v.i.o.n.s r.e.s.e.r.v.é s.p.é.c.i.a.l.e.m.e.n.t p.o.u.r l.e.s j.a.r.d.i.n.s d.e l.a c.a.p.t.a.l.e .

A ces paroles, le général bondit de sa chaine. Le sang lui avait monté à la tête, il était hors de lui et gesticulait dans tous les sens, à la fois furieux, paniqué, agacé, surpris et plus du tout endormi.

- Nonnn, c'est HORRIBLE, qu’est ce qu’on va faire ?
- Vous pourriez faire comme dans le nord seigneur, à ce qu’on ma dit, une petite lettre et si les importuns ne bougeaient pas ils envoyaient l’armée.
- C’est que dans le nord ils peuvent se le permettre ces imbéciles, jamais personne ne sera informé de leurs actes.
- Ici non-plus. C’est un trou perdu.
- Plus pour longtemps, avec la capitale dans la région on risque bien d’avoir vent de nos pratiques. Ce serait très mauvais pour la guilde et mes projets tu sais.
- Ouai, c’est vrai, on peut faire quoi alors ? Un mur peut-être ?
- Non, mais tu te rends compte si on fait un mur ??? On nous dira qu’on veut isoler ce peuple et l’empêcher de se joindre aux autres. Ça ferait tache dans nos beaux projets d’unification de l’île.
- C’est vrai… on doit faire attention maintenant, mais vous voulez faire quoi alors ?
- Hummm, …heimm ... ah oui, je suis géniale ! J’ai la solution, des cactus !

Emendil sautillait maintenant de joie alors que son fidèle bras droit restait dans l’incompréhension la plus totale.

- Hein, des cactus ?
- Oui, des cactus, nous allons mettre en place une gigantesque haie de cactus, des milliers et des milliers de cactus. Ça devrait ôter toute envie à nos voisins de s’approcher d’avantage des terres de la capitale.
- Un mur quoi ?
- Non, une jolie haie décorative en cactus. On ne pourra pas nous reprocher de vouloir bloquer les voisins avec ça. Personne n’arrivera à découvrir le but officieux de cette haie. On la prendra pour un élément des jardins.

Le général avait exactement même petit sourire de satisfaction et de fierté que celui qu’il arborait d’en temps en préparant ses plans de bataille.

- Vous êtes génial chef, avoir de pareilles idées, il n’y a que vous pour cela !
- Ben ouai !
- Alors, je propose ça aux Murmures et s’ils daignent bien nous accorder la plantation des ces quelques cactus je m’arrange pour que ce soit fait au plus vite.
- Pis quoi encore, on va pas aller demander à ces vieux fous l’autorisation de décorer le royaume. Il faut pas abuser non-plus. Comme si un arbre pouvait mettre en danger la stabilité du royaume.
- Enfin, s’ils apprennent que…
- Ils n’en sauront rien. Tu va tout de suite mettre ça en place. Allé file.

Cette mauvaise nouvelle avait finalement bien motivé Emendil en vue de la journée qui l’attendait. Combien encore d’idées farfelues devrait-t-il trouver pour rattraper les conneries du chantier ?

La haie, elle fut rapidement et correctement mise en place et stoppa net la dangereuse avancée des imprévisibles voisins.

à vos critiques

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A l’annonce de l’émergence d’une nouvelle ile, une grande agitation enthousiaste avait régné chez certains dragons. Territoires trop étroits, voisins encombrants, envie de terres vierges, peut importait. Quelques uns se laissèrent vite séduire par la promesse de monde vierge attendant une nouvelle seigneurie et firent rapidement leurs bagages vers ce nouvel horizon.

Pendant ce temps, sur Dakim…
Diabloca enrageait. Les hérons s’acharnaient sur son domaine. Le seul baume à son cœur était les offres d’aide qu’elle recevait régulièrement.
Malgré, tout, pour échapper à ce voisin trop agressif et envahissant, deux autres dragons décidèrent de partir vers Fadakim, tentés à la fois par ces territoires vierges et par le fait d’échapper aux entreprenants échassiers.

C’est alors que la demi diablesse reçu une missive qu’elle trouva légèrement étrange. Le Seigneur LostJiko, dont elle connaissait au moins le nom et la réputation lui proposait certes de l’aider, mais contre la promesse de la présidence à Fadakim. Voilà qui était bien étrange...
Après quelques réflexions, elle accepta.

Quelques temps plus tard, Dame Aëlissandya, discutant à bâtons rompus avec le Seigneur Emendil en place publique des possibles améliorations du gouvernement, fut invitée discrètement à en discuter plus à son aise à la cité des Protego. Informée des grands projets que nourrissait cette guilde, Aëlissandya contacta Diabloca. Le projet semblait intéressant. Elle le regardait avec bienveillance. Elle regrettait presque qu’elle n’en ai pas eu vent avant.

Puis, brusquement, un coup de foudre. Des amis lui rapportèrent qu’un crieur public au service de LostJiko demandait réparation pour une attaque. Rapidement, elle se rendit sur place pour se rendre compte. Une rage la prit. Contre ce seigneur et contre l’attaquant aussi. (note hrp: ne pas oublier que mon perso est à moitié démoniaque) N’était ce pas une affaire privée? Bon c’était trop tard, autant faire des excuses, ils avaient déjà bien assez de soucis pour en rajouter.

Il était temps de rendre visite à la jeune cité Protego. Diabloca se mit en route, elle savait que Dame Aëlissandya l’y avait précédé.

Bravo a tous j'ai beaucoup aimé

Andarian encore un clin d'œil charmeur à ma Sylver et je t'envoie rejoindre tes ancêtres!! tu vas comprendre que je peux faire autre chose que le zouave et que la foudre ça pique

J'aime bien. C'est surtout de l'explication pour le moment, tu prévois de la scène pour la suite?

Donc, on oublierait la plainte de Lost, il ne ferait qu'envoyer un serviteur, pourquoi pas. Ensuite Diabloca viendrait régler ça chez les protego pour parler du même coup des nouveaux projets. Ça passe bien aussi. Donc tu mettrais d'abord l'invitation d'Ael avant la plainte de lost ok. J'aurais aussi vu une invitation de certains dragons pour améliorer nos rapports après ça, une autre approche.... mais ça va très bien ainsi


juste petite proposition sur la plainte de lost pour coller à son rp de plainte: lost pourrait quand même aller sur la place publique mais diabloca n'y serait pas présente, seuls d'autres dragons y seraient présents et insatisfait il voudrait rencontrer la chef en chef en personne, d'où cette venue chez protego, qui permettrait du même coup de parler affaire

voila, une petite modification, à voir ce que vous en pensez

et sinon, on est peut-être pas tous d'accord, mais pour le moment Protego n'aurait qu'un havre, la capitale est en construction, vous voyez ça autrement?

je vais essayer de faire au plus vite le rp sur la vengeance de lost, vous me direz si vous voulez qu'on l'intègre.
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sinon, sylver, tu veux intervenir, tu as une idée sur quoi parler? tu veux aussi faire une parie de la rencontre dragons-protego, parler de votre ville...?

petite question... plusieurs fois, dans le RP d'emendil et dans les discussions, j'ai vu des allusions à un gamin dont il faudrait préparer l'arrivée... c'est quoi l'histoire au juste ? de ce que j'en ai compris, c'est un des éléments de base de l'environnement RP de la guilde... mais c'est à peu près tout ce que j'ai compris ^^

sinon, j'avoue que moi aussi je serais bien tentée d'intervenir dans le RP ^^

j'ai fait quelques modifs, dit moi si ça te plait mieux

de toute façon, c'est l'affaire vu sous l'angle de Diabloca (donc, elle ne sait pas que la cité est en chantier, elle suppose que vous avez fini déjà votre maison commune) , rien n'empêche de la mettre un peu, de votre point de vue , et faisant que ça colle

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A l’annonce de l’émergence d’une nouvelle ile, une grande agitation enthousiaste avait régné chez certains dragons. Territoires trop étroits, voisins encombrants, envie de terres vierges, peut importait. Quelques uns se laissèrent vite séduire par la promesse de monde vierge attendant une nouvelle seigneurie et firent rapidement leurs bagages vers ce nouvel horizon.

Pendant ce temps, sur Dakim…
Diabloca enrageait. Les hérons s’acharnaient sur son domaine. Le seul baume à son cœur était les offres d’aide qu’elle recevait régulièrement.
Malgré, tout, pour échapper à ce voisin trop agressif et envahissant, deux autres dragons décidèrent de partir vers Fadakim, tentés à la fois par ces territoires vierges et par le fait d’échapper aux entreprenants échassiers.

C’est alors que la demi diablesse reçu une missive qu’elle trouva légèrement étrange. Le Seigneur LostJiko, dont elle connaissait au moins le nom et la réputation lui proposait certes de l’aider, mais contre la promesse de la présidence à Fadakim. Voilà qui était bien étrange...
Après quelques réflexions, elle accepta.

Puis, brusquement, un coup de foudre. Des amis lui rapportèrent que le chef des Protego avait déposé une plainte en place publique et que celle ci demandait réparation pour une attaque. Rapidement, elle se rendit sur place pour se rendre compte. Il n’y avait plus personne, mais une affiche trônait, résumant l’affaire. Une rage la prit. Contre ce seigneur et contre l’attaquant aussi. (note hrp: ne pas oublier que mon perso est à moitié démoniaque) N’était ce pas une affaire privée? Bon c’était trop tard, autant faire des excuses, ils avaient déjà bien assez de soucis pour en rajouter.

Quelques temps plus tard, Dame Aëlissandya, discutant à bâtons rompus avec le Seigneur Emendil en place publique des possibles améliorations du gouvernement, fut invitée discrètement à en discuter plus à son aise à la cité des Protego. Informée des grands projets que nourrissait cette guilde, Aëlissandya contacta Diabloca. Le projet semblait intéressant. Elle le regardait avec bienveillance. Elle regrettait presque qu’elle n’en ait pas eu vent avant.

Il était plus que temps de rendre visite à la jeune cité Protego. Diabloca se mit en route, elle savait que Dame Aëlissandya l’y avait précédé.

Oui, c'est bien aussi. Tout compte fait c'est pas très important ça allait bien aussi. Comme tu l'as dis c'est pas grave si quelques points différent. On m'a aussi laissé beaucoup de liberté pour faire mon truc alors faudrait que je me mêle pas trop des vôtres.

Sinon, ok pour la citée, tu ne joue pas le narrateur omniscient.

Alors ça va, super, une idée pour la suite, tu veux la faire?
_________________

Ael, le gamin c'est un peu une caricature du premier objectif de la guilde. Jiko m'avait dit qu'on pourrait se libérer des dieux par l'intermédiaire d'un enfant qui vient sur Fadakim, c'est ce qu'il a sous-entendu dans le rp présentation de la guilde sur le fofo général, emendil n'y croit pas trop, je me suis aussi dit que ça serait assez dure à mettre en scène ça, j'ai présenté plusieurs autres interprétations dans la "tour de guet" dont une libération des "faux dieux", en gros on suivrait un peu la doctrine d'Iszmar pour ne pas tomber sous les serviteurs de baal, je devrais faire quelques rp la dessus, dont la rencontre emendil-traqueur (lequel est devenu un fidèle d'entre les fidèles, mais on ne sait pas trop s'il est soumis, maitre, fou....)

enfin faudrait voir ce que vous trouveriez préférable, moi je verrais bien traqueur endoctriner tout pleins de seigneurs pour foutre le bordel sur nawakim, faudrait accompagner ça d'avantage pour piller un gouvernement, mais en jouant les gentils, je pourrais pas faire les méchants, aussi ce serait bien que Traqueur devienne un pnj, saluki pourrait faire une quête pour suivre la voix de Baal, et chaque île, groupe devrait lutter ton bien que baal, avec ça fadakim pourrait avoir plus d'importance, enfin c'est un peu fou tout ça, on verra bien

pour la suite, faut voir, peut être ael si elle veut ou encore moi => à voter

sinon, faudra me dire quand poster (mais si on est plusieurs, faudra se mettre en archipels de Nawakin )

RP RP RP, deux semaines que je n'ai pas posté, alors voici la suite, enfin un épisode spécial à peut-être implanté au rp de visite des Dragon, qui suit la dernière intervention du rp d'accueil des Dragons qui pourrait justifier la moins grande activité de lost (je pensais même le faire dormir jusqu'à son élection de président, à voir...

Donc, partie 11:

Le chef en action

Tout d’un coup un des gardes du havre déboula de l’autre coté du couloir. Il se précipita vers le seigneur Jiko sans même faire attention à ses invités et lui annonça d’une voix essoufflée la nouvelle.

- Chef, je crois bien qu’on le tient. On l’a fait patienter à l’entrée, je sais pas trop ce qui voulais mais qu’importe.
- Tu me parles de quoi la ?

Le garde sortit un exemplaire du fameux avis de recherche pour le montrer au chef.

Spoiler:

Persuadé d’avoir rêvé, le garde lança un second coup d’œil sur la droite au fond du couloir. Mais non, c’était bien lui, il hallucinait pas.

- Chef, c’est lui là-bas au fond, en rouge ! Il a du réussir à s’infiltrer à l’intérieur. Mais je l’ai trouvé au moins, vous oublierez pas la prime…
- C’est pas le moment, dégage.

Le seigneur Jiko s’était focalisé sur le petit chaperon rouge, le transperçant du regard. On sentait déjà le petit chaperon trembler de tout son corps, le chef était maintenant cyan, belle couleur !

- TOI, TU AS OSE VENIR EN MON DOMAINE !
- Heu, bin, euhh… on était invité non ? Y a plein d’autres Dragons…
- TOI TU N’ETAIS PAS INVITE ! TU TE RAPPELLE DE CE QUE TU AVAIS FAIT ?
- Heu, quoi…. ha… ça, oui mais c’est passé, j’sus désolé, j’savais pas, et puis on a réglé tout ça depuis…
- NON, UN PEU PLUS JE T’AURAIS FRACASSE DIRECTE SUR LE FORUM APRÈS INDIFFÉRENCE ET IMPUDENCE DONT TU AVAIS FAIT PREUVE ! MAIS Y AVAIT BEAUCOUP DE MONDE et… AUJOURD’HUI AUSSI IL Y A DES TÉMOINS ; MAIS TU AS ÉTÉ TROP LOIN. TU AS MÊME OSER T’INFILTRER DANS NOTRE DEMEURE ET TU N’AS PAS RESPECTER LES ORDRES DE LA GARDE.
- C’est vrai ça chef, il nous a même menacé en plus !
- TA GUEULE ! BON, ALORS JE VAIS M’OCCUPER PERSONNELLEMENT DE TA SANCTION, TU VA SOUFFRIR SALE LÂCHE !

Cela devenait intéressant, Jiko était passé au vert et il se commençait à s’approcher du petit chaperon rouge, le fixant toujours et plus intensément encore. Sa victime restait pétrifiée, elle avait surement pu lire dans le regard glacé de Jiko ce qui l’attendait, ce qu’il avait déjà fait subir à d’autres, enfin toute la colère, la rage et fureur du mort vivant. Cela devait être terrifiant. Diabloca nullement opposée à une petite merise en place de son guignol d'elfe jugea tout de même que les commençaient à devenir dangereuses

- Ahhhh, faut faire quelque chose, il est complètement fou.
- C’est de l’inconscience!
- Allé, il faut le maitriser, tous sur lui !!!

Tous les seigneurs présents s’exécutèrent. Ils réussirent à le mettre à terre. Mais bientôt, un a un tous furent éjectés, Jiko se releva et continua à s’approcher lentement de Brere en le découpant du regard. Il du vert, son teint devint « peau ». Cette couleur donnait un air tout à fait particulier au mort vivant.

- MOUHAHAHA, JE VAIS BRISER CHACUN DE TES OS, JE VAIS DE RÉDUIRE EN BOUILLI !

Le petit chaperon rouge était complètement pris au dépourvu, il n’eut même pas l’idée de s’enfuir grâce à ses talents de voleurs. Il entra dans la taverne, couru dans tous les sens se cacha ou il pu, ce qui ne plus guère à Aelissandrya qui le fit déguerpir de ses jupons. Voila qu’il entreprenait des prosternations par séries de vingt accompagnées de supplications. Ayant constaté que cela n’avait aucun effet sur le mort-vivant en COLÈRE, il se remit à courir dans tous les sens en percutant les murs. Emendil pensa bon de faire un point sur la situation.

- Attention, il est devenu « peau », c’est son état le plus dangereux, sa force est au moins centuplée, on ne peut plus rien faire pour le malheureux…

A ces paroles, le fier Bossan, resté en dehors de cet affrontement, jugea qu’il était tant d’intervenir et de faire cesser cette mascarade. Nul autre que lui n’était capable de le faire ! Il se projeta dans sur son adversaire pour le neutraliser. Jiko, pour ne pas se détourner de sa victime se contenta de le renvoyer d’un petit mouvement du poignet. L’elfe fut projeté contre le mur avec une telle violence qu’il faillit le transpercer. Mais celui-ci n’avait pas perdu sa fierté pour autant.

- Haaaa, il est malade ce type, il a faillit me casser un ongle, Aillleeeeeee!

Jiko était maintenant presque à porté de sa victime. Il tendit ses longs bras gonflés de rage pour saisir sa proie au cou. On entendit craquer toutes ses cervicales cédants sous la robuste poigne de Jiko. Une fois le petit chaperon rouge bien pris en main, le chef le propulsa au plafond. Brere heurta avec une remarquable violence la paroi supérieure avant de retomber comme une masse. Les premiers cris de douleurs avaient retentis. Le mort vivant intercepta l’elfe dans sa chute grâce à un prodigieux coup de pied mêlant divers arts martiaux ( oui, Jiko a beau être complètement fou il n’en perd pas sa technique pour autant) et l’éjecta directement sur le mur du fond avec la vitesse la plus grande. Encore une fois, le mur résista, cela était peut-être dû à la faible corpulence de l’elfe qui pouvait exercer une moins grande force sur le point impacte. Des cris se firent à nouveau entendre, mais cela ne suffisait pas à contenter le furieux Jiko. A peine avait-t-il projeté le petit chaperon qu’il fonçait vers lui tel un taureau. Cette fois-ci, le frêle mur de presque un mètre d’épaisseur ne résista point. ( Mouai, non je vais casser le mythe du terrible Jiko ainsi, mieux vaut laisser chacun s’imaginer ce que cela pourrait être, il paraît que les choses sont bien plus marquante quand on les omet et qu’on laisse chacun se les imaginer. Le pouvoir du non-dit. Alors, on dira…)

Brere s’était déjà résigné, mais à sa grande surprise Jiko tomba à ses pieds.

- Oui, il a eu peur de moi !!! Je suis trop fort !
- Mais oui, sans moi, il t’aurait déjà fait la peau, j’ai juste réussi à l’endormir à tant avec ma magie, c’était moins une !
- Heu, ahh merci Sylver mais je maitrisais, j’aurais aussi pu le calmer.

Sylver fut à deux doigts d'exploser en entendant la remarque des plus égocentriques et stupides de Brere.

- Tu veux que ce soit moi qui te règle ton compte sale ingrat?
- Sylver c'est génial tout ça, bravo! Mais quand est-ce qu’il va se réveiller ?
- Heu…, je sais pas trop, c’est proportionnel à l’état d’agitation, plus une personne st agitée plus ça dure.
- Mais à peu près, c’est dans quel ordre de durée.
- Bah, ça peut être quelques heures comme quelques mois…
- AhhhH, et s’il se réveille pas on va faire quoi avec les Dragons ?

L’incident « Brere » avait magnifiquement bien été maitrisé. Il ne serait plus qu’à espérer que le seigneur Jiko se réveille au plus vite pour traiter avec les Dragons. Enfin, pour le moment Protego et Dragon avaient décidé de festoyer pendant que le pti boudchou de mort-vivant piquait son somme.

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voila remarques, de nouveau perso insatisfaits de leur perso? (pitié pas Brere sinon le rp est à refaire ) Diabloca peut-être? enfin je savais pas trop à qui faire dire tes répliques nécessaire, emendil pourrait le faire mais comme il connait assez jiko je ne pense pas qu'il s'y risquerait, idem pour tous les autres protego

Sinon, j'aimerais bientôt poster la partie 10, c'est bon pour vous? Andarian, tu postera après moi? Posséidon, tu as finis ton bout?

je crois qu'il va falloir refaire des trucs, de toute façon, même si ce n'est que moi, là, et pas brere


alors, ça:

Diabloca nullement opposée à une petite merise en place de son guignol d'elfe jugea tout de même que les commençaient à devenir dangereuses.


Ca ne va pas du tout. Déjà, elle ne juge pas qu'il est un guignol, vu qu'elle est amoureuse...
En plus
1) en tant que perso, elle risque fort de sortir son fidèle fouet. Puis, je pense qu'elle ferai froidement remarqué que ce n'est pas une manière de traiter les invités, même si un a commis une "petite" erreur.

2) si elle s'en mêle, ne pas oublier qu'en plus d'être une demi diablesse, elle est aussi mort vivant suite à un accident.

Vu que Jiko a l'air de péter les plombs, elle risque fort de se mettre entre lui et Brere, le fouet dégainé.


Je veux bien, pour la suite, mais à voir avec les modifs

Sans vouloir m'avancer, je pense que Bossan ne se reconnaitra absolument pas...

déjà d'une, un ongle cassé, il s'en contre fiche, il aurait plutôt un égo démesuré... il ne cherche jamais à régler les conflits mais plutôt des occasions de se bagarrer, il brandit son sledge hammer pour un oui ou pour un non, et il ne s'avoue jamais vaincu : même tué, il trouve toujours le moyen de ressuciter pour mettre la raclée à son adversaire, en gros...

si je me permet de dire ça, c'est aussi parce que c'est lié à mon personnage... on se suit depuis un moment, et les bagarres RP avec bossan, je connais.
je ne penses pas qu'il me contredira sur ce que je viens de dire à son sujet...

Aël ne se serait pas seulement contentée de virer Brere de ses jupons : elle aurait dégainé sa branche de pommier magique pour l'assomer un bon coup (oui, elle peut être colérique quand elle s'y met ^^), et elle se serait débrouillé pour trouver un prétexte quelconque pour s'opposer à bossan et le menacer à son tour... à la fin, les deux ne s'occupent plus que de se bagarrer ensemble sans regarder ce qui se passe autour...

en tout cas, chez les dragons, ça finit toujours comme ça avec Aël et Bossan. on adore se chamailler... et les gosses commencent à se pointer de temps en temps : à la moindre bagarre, ils se jettent sur le premier venu pour le chatouiller.


et de mainère générale : s'il y a un début de bagarre là ou se trouvent des dragons, ça finit en bagarre généralisée ^^ (imagine les gaulois de astérix, je penses que ça donne une idée assez juste de l'ambiance ^^)

Ok, c'est vrai, c'est complètement à coté je m'en excuse et oui, faudrait que j'apprenne à connaitre vos personnages, je vais essayer de le faire

mais pour ce rp, je pense que ce serait peut-être mieux que j'y renonce, le laisser complètement à d'autres plus concernés... les dragons et leurs connaissances, jiko... ou que j'y glisse simplement une-deux répliques je pourrais aussi simplement résumé le propos dans mon rp perso....


encore désolé d'avoir pu pensé que tu pourrais accepter ça Brere, c'est stupide
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sinon, maintenant que vous avez dit que ça n'allait pas du tout sur ce rp, le 10 vous dérange aussi? bien que ce soit entre frions, c'est sur les dragons alors...? (sur celui-là je voulais justifier la plainte de lost)

Alors, au niveau du 10 c'est bon pour le poster sur les fofo officiels?

Et si oui, en tant que rp perso + rp de guilde avec ajout de partie de l'arrivée des nouveaux+ en tant que rp introducteur de la harangue de lost,

un des points pose problème, pas une bonne idée de la poster triple?